Administrativement
L’Homme de Terre est une association loi 1901 créée le 12 août 1997 dont l’objet est très ouvert :
Ofrir un support juridique à toute activité respectueuse de la paix des hommes et de l’environnement et notamment à la création artistique.
Siret : 421 824 327 000 17 – Ape : 9001Z, cette association a géré les activités artistiques de Vincent Filliozat et maintenant l’activité d’enseignant de yoga.
Symboliquement
L’Homme avec un H majuscule désigne l’humanité.
Terre avec un T majuscule désigne le nom – ou plutôt le prénom – de notre planète.
Avec mon coeur, je considérais déjà Terre comme un être vivant. Grâce au livre « L’hypothèse Gaya » de James Lovelock, j’ai les outils intellectuels pour constater que Terre est un être vivant à part entière.
L’Homme de Terre, c’est nous tous, l’humanité considérée comme un organe de la planète Terre, son système nerveux. Nous sommes chacun un neurone de Terre et nous devenons assez nombreux pour que la conscience de Terre apparaisse. Effectivement, une conscience planétaire se fait jour, dynamisée par le réchauffement climatique.
Grâce au yoga, en éclaircissant notre conscience propre, nous éclaircissons notre fonction au sein de la planète.
C’est bien joli mais qui est ce neurone qui vous parle ?

Quelques étapes de mon parcours yogique
1990
Alors jongleur, je découvre le yoga sous le chapiteau du Cirque Plume implanté à Paris. Rodolphe Millat vient pendant quelques mois nous donner des cours. Il me conseil vivement de rencontrer son maître Sri Sri Sri Saccidânanda qui donnait un stage un peu plus tard. Ce que je fis.
Mon bagage en yoga était tout petit pour apprécier à sa juste valeur la rencontre avec un tel maître. Ce n’est que 35 ans plus tard que je reconnaîtrais son enseignement, à travers le souvenir de son énergie, de ses regards, de sa présence.
Pendant 30 ans, je pratique cependant quelques postures de yoga pendant mon entrainement de jongleur, appréciant la disponibilité de mon corps que cela me procure pour les spectacles.
2008
J’arrête la jonglerie, et par là-même le peu de yoga que je pratiquais, pour devenir thermicien du bâtiment … et maladivement frileux.
2012
Un ami compatissant m’oriente vers Maurice Daubard, le yogi du froid qui venait donner un stage un peu plus tard. Ce que je fis.
Ce stage a radicalement transformé ma relation au froid et m’a redonné goût au yoga. Je m’inscris aux cours hebdomadaires de Benjamin Bernard au CATCO, ainsi qu’à presque tous les stages proposés. Notamment ceux de Philippe Djoharikian, Michel Angot, Maheshwar.
2016
J’intègre la formation professionnelle Nadanjali, sur 4 ans, au CATCO.
Initiation au chant Dhrupad avec Marie-Line Aubry.
2017 J’ai la chance de retrouver Sri Sri Sri Saccidânanda à travers un de ses disciples direct – Walter Thirac Ruta – qui prolonge ses enseignements en Italie et en France.
2020
Découverte du yoga Iyengar avec Didier Téfreto à Besançon.
Nom yogique
Mercredi 20 novembre 2019, Bhavananda m’a transmis un nom yogique :
Amritasu
Claire de lune ou rayon de lune

L’amrita, la texture même de la lune dans la tradition indienne, est la nourriture des dieux, qui leur donne l’immortalité. Su évoque ce qui suinte. Voici donc ma feuille de route, ma mission yogique : suinter l’immortalité !
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J’exerce par ailleurs
en tant que praticien Neuroptimal® et méthode TRE® sous cette enseigne :
Publication
Texte écrit en 1990 pour la revue Alternatives Non Violentes qui vous donnera un aperçu de ma pensée.
http://lhommedeterre.org/wp-content/uploads/2020/05/A.N.V.-1991.pdf